Il n’a pas amassé une fortune colossale en ruinant des boursicoteurs naïfs.
Il n’était pas un artiste marketé survendu à coup de j’aime sur Facebook.
Il ne faisait pas partie de ces sportifs se plaignant de payer trop d’impôts.
Il n’était pas un de ces penseurs dont les pensées profondes sont rythmées par les rentrées littéraires et les salons où ils faut être.
Il n’était pas de ceux qui renoncent en se justifiant d’un gauche / droite c’est tous les même.
Il n’était pas un politique bateleur de foire, carriériste, vendeur de discours chamallow.
Non, il était de ceux qui écoutent encore plus qu’ils ne parlent, de ceux qui risquent leur liberté pour de nobles et grandes idées, de ceux qui combattent pour la justice, de ceux qui ont l’humilité d’apprendre de leurs erreurs, de ceux qui pensent qu’un honnête homme doit s’occuper des affaires publiques, de ceux qui tissent des liens entre les hommes, en particulier lorsqu’ils sont différents.
Il était Mandela et il montre le chemin à tous ceux qui veulent avancer.