Maintenant que je suis président : conclusion

Ce “blogramme présidentiel” a été abordé (trop rapidement) sous les trois angles : choix de société, mouvement et verrou,menaces et ruptures. Ceci est en apparence loin des habituelles et interminables discussions sur le chômage, l’insécurité, le modèle français, l’école, etc… Pourquoi ce choix ?
D’abord pour éviter les positions de principe définitives ; a force de rabâchages, tout un chacun s’est gravé sa solution dans le marbre et rejette tout ce qui n’y ressemble pas de près ou de loin. Attitude au final stérile.
Ensuite parce que si ces questions récurrentes n’ont pas encore trouvées de réponses satisfaisantes, cela peut être pour trois raisons :
1) tous ceux qui se sont attelés à la tâche sont des idiots
2) ces problèmes n’ont pas de réponses
3) ces questions n’étant pas les bonnes, elles ne peuvent trouver de solution.
Croyant philosophiquement à l’intelligence de mes semblables et étant d’une nature relativement optimiste, j’opte pour la dernière proposition et c’est pourquoi j’ai cherché un éclairage d’une autre nature.
Chômage, insécurité, modèle, école, sont tout à fait liés aux éléments proposés ici, mais comme éléments intermédiaires, le but à atteindre étant au-delà des contingences immédiates. Le présent et l’immédiat doivent être délégués au gouvernement, le capitaine président lui ayant la charge de l’objectif du voyage et de la solidité de la structure du navire.
Il faut en finir avec ces pathétiques scènes de Hamlet entre petits marquis, reprendre de la hauteur, regagner le prestige d’une nation qui fut grande et doit le redevenir par ses qualités et son énergie.

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