J’ai rencontré une fois Dominique, il m’a fait l’honneur d’une mention dans 365 jours et je crois avoir toujours été digne des idées qu’il partage avec notre courant, courant dont je défendais encore hier l’identité alors que les circonstances compliquées du moment entrainaient chacun vers des choix aussi divergents que peu satisfaisants. C’était hier, il y a une éternité après cette nouvelle journée improbable, et tout cela prouve au moins qu’un combat sincère mené avec intelligence et honnêteté apporte solidité et légitimité à la parole !
Aujourd’hui et même si la procédure judiciaire n’est pas encore terminée, Dominique a commencé à recouvrer son honneur, malgré l’incroyable construction médiatique mondiale d’une culpabilité voulue par on ne sait qui. Ce soir il rentrera chez lui en homme libre, en homme qui reprend le contrôle de son destin. Il est attendu en ses foyers, qu’il sache qu’il est aussi attendu en France.
Le parti socialiste peut lui aussi présenter fièrement son front aux Français. L’immense majorité des militants du parti se sont sentis sincèrement blessés par les attaques de l’UMP et très peu ont eut l’imbécilité d’essayer d’exploiter la situation à des fins politiciennes. La justice américaine a franchi aujourd’hui une étape quI démontre que le PS n’a en aucun cas à rougir des valeurs que nous défendons : oui nous sommes un parti pour lequel le mot « morale » a un sens. J’appelle mes amis sociaux-démocrates à reprendre leur combat commun, à se réunir autour de notre identité, à combattre sous notre bannière en qualité de courant du PS. Comme je l’ai écrit plusieurs fois, il n’y a aucune urgence à choisir un candidat par défaut, cela n’en est que plus vrai aujourd’hui : affichons nos valeurs, défendons nos idées, préparons le terrain de la victoire, et nous verrons bien d’ici l’automne qui symbolisera cette victoire, et faisons-le avec ce qui est notre force, notre identité collective.
Quant à la droite, j’appelle les hommes d’honneur de son rang à faire le ménage : les propos calomniateurs d’un Lefebvre ou plus encore d’un Debré sont autant de tâches honteuses que le temps n’est pas prêt d’effacer. Et j’ose espérer que cela s’arrête à quelques individus. Nous ne sommes pas des inquisiteurs, vous avez la possibilité de montrer que de tels agissements ne sont pas le symptôme d’une immoralité politique viscérale, alors faites-le !
Enfin je veux qu’à travers ce coup de théâtre ce soit Marianne qui relève la tête, Marianne que l’on a présentée faible et perverse, Marianne que l’on a voulu ridiculiser. Mais mon pays n’a rien à voir avec cette image, la France n’est pas une contrée de compromissions avec les dictateurs ou les boursicoteurs. La France est un pays de justice et de liberté, un pays fier et confiant en son avenir et c’est pourquoi je me suis engagé dans le militantisme politique, pour que mes enfants ne vivent pas dans un petit pays marécageux gouvernés par des esprits étriqués, mesquins et stupides. Reprenons notre destin en main, que cette campagne soit une campagne de reconquête et de reconstruction de notre pays, que cette campagne mène au pouvoir des hommes et des femmes capables de courber le destin !
Oui, ceux qui ont accusé DSK à tort peuvent s’en mordre les doigts. Quelques féministes, et non des moindres, quelques politiques, même étiquetées PS qui ont trouvé bon de faire leur miel sur son dos. Mais le Net a bonne mémoire, et nous avons les arguments percutants.
Excellentes réflexions sur les trames complexes qui entourent l’affaire DSK https://sciencesetpolitiques.wordpress.com/2011/07/09/dsk-3-scenarios-pour-un-fiasco/
La Tunisie appartient aux Tunisiens quelles que soient leurs origines couleurs ou confessions…Cependant nous devrions veiller apres notre revolution qui a emerveille le monde entier a bannir de notre langage courant certains termes racistes que nous prononcons souvent par reflexes herites sans doute de lepoque coloniale… Je ne peux quappuyer les declarations de notre ministere qui confirme ique la population juive tunisienne constitue une partie integrante de la societe tunisienne elle jouit des memes droits et des memes privileges que les autres composantes de la societe nationale.Les liens damitie et dinterets sont si seculaires et si profonds que personne ne les a specialement inqiuetes lors de la revolution de janvier ils ont meme beneficies dans leur quartier de la meme protection assuree par les comites populaires contre les vandales et les casseurs que toutes les autres ethnies locales.La Tunisie carrefour des civilisations genetiquement moderee est un pays qui se veut laique dans la pleinitude du sens du terme et qui ne pensera jamais ulterieurement a organiser des debats publics sur telle ou telle religion.La Tunisie nouvelle a grand besoin de tous ses enfants unis dans leffort et le developpement chaque ethnie lenrechira de ses specificites et sa difference dans une atmosphere de concorde. Le commentaire de Mr Perez Trabelsi fait chaud au coeur et demontre a qui voudra lentendre que nous sommes tous et toutes tunisiens et tunisiennes.Sil y a des jaloux de la Tunisie cest leur probleme et quils se tiennent loin de notre beau pays et peuple multicolore et uni.
Honte d’etre socialiste, DSK malgré l’abandon des poursuites est quand même passé a l’acte, il ne doit son salut qu’au trouble passé de « l’accusatrice ». Il n’en va pas de même pour le peut de sens moral et éthique de DSK et de sont épouse. Flotte encore le pouvoir de l’argent et de cette fameuse gauche caviar.
Beaucoup de question reste sans réponse…. Comment un homme si important se retrouve seul sans protection rapproché dans un hôtel ? Comment pouvant « jouir » de résidences sur new-york et banlieu DSK va à l’hôtel ? Bref si DSK avait une once d’honneur et de respect envers les francais , il se retirerais pour ne pas dire s’éffacerais définitivement du monde politique et public.
Si Diallo n’avait menti que sur son passé, le procureur n’aurait sans doute pas clos le dossier. Mais elle a menti, à plusieurs reprises, sur les éléments vérifiables des faits.
Pour les autres questions, on attendra la version de DSK.